Tuesday, October 30, 2007

Freedom of Information & Transparency

For the third consecutive year, the Canadian Newspaper Association has conducted a survey of the ability of individuals to access information at various governmental offices - at the municipal, provincial and federal levels. Once again this year, they found too many cases of government employees not being forthcoming with the information, and in some cases being obstructionist.


In a democracy that espouses the principles of transparency and openness in government, the publics right to know should be paramount. It is the foundation of our democratic society. Frankly, a citizen should not have to file a freedom of information request to obtain basic information. It is the duty of all civil servants to quickly and expeditiously provide this information to the public. Even if the information in question makes the government "look bad", this information must not be with-held. It is only with complete information that citizens can hold government accountable. It is only with complete information - the good, the bad and the ugly- that organizations can learn, improve and innovate.

Based on the results of this annual survey, we obviously have a long way to go in Canada. At the same time, public servants must guard against not providing their recommendations on paper. Too many times, oral briefings/discussions are being substituted for the traditional briefing note. The historical record of the wherefores and the whys of government decisions are important to understand the context of a decision. We should not be afraid of documenting these. So what do you think about this issue?

Saturday, October 27, 2007

Joyeux Anniversaire, Ryerson !

Hier, j’ai eu le plaisir d’assister à une célébration des 45 années d’enseignement de l’administration publique à l’Université Ryerson.

Ce fut un événement très intéressant qui a commencé par un panel traitant de l’administration publique en général et du programme de Ryerson en particulier. Parmi les panélistes, on comptait le chef du PND et ancien professeur à Ryerson, Jack Layton ; le récipiendaire du Prix IAPC/Pierre-De-Celles de 2007, Paul Thomas, de l’Université du Manitoba ; Marg Rapapolt, sous-ministre des Affaires indiennes au gouvernement de l’Ontario ; et deux diplômés du programme de Ryerson. Les deux diplômés ont parlé de l’approche unique de Ryerson de connecter la communauté par les programmes qu’elle lui offre.

Le président de Ryerson Sheldon Levy a ensuite présenté l’un des premiers professeurs du programme et le dernier chancelier de l’université, également un ancien maire de Toronto, député fédéral et ministre du cabinet (et bien d’autres titres), David Crombie. M. Crombie a fait un discours impromptu sur ses débuts à Ryerson – son enseignement de la sociologie, dont il ne connaissait rien. Ses étudiants lui ont vite demandé de leur enseigner les rouages de la mairie. Le reste est une histoire ancienne, comme ils disent ! Le discours de M. Crombie était divertissant et l’aisance avec laquelle certaines personnes parviennent, sans aucunes notes, à faire un magnifique discours, m’étonne toujours.

Ce fut un après-midi des plus agréables – Félicitations à l’Université Ryerson !